Rien de plus naturel que la durée du jour. C’est sans doute la raison pour laquelle sa compréhension est menacée ; et, avec elle, sa fécondité. Une alternance où puiser le repos unit la vie du corps et la persistance de l’âme à un rythme très vaste, l’un des seuls qui échappent encore à notre maîtrise : le plus manifeste et le plus familier des rythmes de la vie.
Que faisons-nous de cette évidence ?
Prenons une comparaison où mesurer un appauvrissement considérable.
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